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NEWS
Cette histoire commence samedi. 17 mercenaires, Jésus et un Bandit. Au QG Maillot, pour cet MTT 6, 8, 7-max – on ne sait plus trop – les jetons valdinguent, des joueurs spewent, d’autre valuent, et la grande majorité bustent. Au milieu de ce champ de mines, un homme sort indemne de chaque combat. Un Homme ? Non, un Dieu : Dom. On aimait sa bonhomie. On craignait son talent. Mais samedi, c’est de son good run mystique qu’il nous a frappé. Will – pardon, Dom, nous a giflé. Il a tué le game, dompté le hasard, assassiné la variance et crucifié ses ennemis. Confortablement installé derrière une montagne jetons à 8 left, notre shark national en aura fait bon usage, jusqu’au HU... Après l’élimination de Charlotte et de Maxime qui s’étaient harnachés tant bien que mal au mat du navire, avant de sombrer à leur tour, 4e et 3e. Et pendant ce temps… Il était un Bandit prénommé Jean-François – Jeff pour les intimes. Après une livraison en early game de l’Amazone Maé, Jeff fait bon usage de ses jetons et de sa lecture des tells légendaire. Mais, en table finale, le cowboy s’éteint. Il ne joue plus, frémit d’impatience mais tient bon. Peu à peu, le temps passe, ses ennemis sautent et Jeff folde. Son stack diminue ? Pas de problème, il doublera tôt ou tard… Face à Maxime, K5<AJ. C’est alors le choc des titans ! Jeff face à Dom, c’est Nadal face à Federer, Gatien face à Sécrétin, Étienne face à Guillaume. Et comme une fois n’est pas coutume, tout ceci se résumera en un mot : mental. Celui de fer, chez Bandit, face à celui de flamme, chez Dom. Rapidement, les deux héros sont à l’équilibre et partent à tapis : l’assistance découvre 99 chez Jeff, payé par… K8 chez Dom qui perd tout son stack ! Mais c’est mal connaître notre Dieu vivant : mourant, avec seulement un quart de blinde, il double, et double et double. Jeff en tilt ? Jamais. Il finira par achever son adversaire et l’emporter. Jeff Bandit, toujours lui ! VGG à notre légende vivante pour cette nouvelle win et gros big up à Dom pour sa très belle performance.



Les dieux et les déesses du Mont Darshan avaient reçu le don merveilleux de la lecture et de la patience... Alors Jupiter leur avait fait cadeau de celui de la connaissance du Texas Hold’em No limit. Depuis, ils se défiaient au gré de leur envie au sein de leur bisque clandestine du Maillot. Les dieux n’étaient pas rivaux et n’avaient pas d’ennemis. Jusqu’au jour où ils décidèrent d’organiser un tournoi spécial le 19 mars de l’an 2022. Et la paix fut alors de courte durée... Au commencement, la partie fut une fête pour les 13 dieux présents : chacun se réjouissant du bonheur de partager une agréable journée ensemble. Mais, tandis qu’ils s’amusaient et s’enivraient, le dealer leur distribua 4 cartes au lieu de 2. Et dans la salle résonnèrent alors les cris de stupéfaction des dieux épouvantés. Bientôt, ils remirent en question toute leur range et leur connaissance du poker : que faire de ces 2 cartes supplémentaires ? Un seul dieu pouvait remporter ce tournoi et survivre au supplice de l’Omaha Pot Limit, s’inscrivant ainsi dans la légende. Le Mont Darshan était alors peuplé de dieux terrifiants : Michel, à la grande expérience, toucha dès la première heure le pactole en bustant Julian "le ressuscité", avant de sortir avec une simple paire de Dame. Suivirent, non loin, Fabrice "à l’âme endurante", "Louis le belliqueux" ou encore Vincent "Sa-Mer".
3 heures ils jouèrent, 3 heures ils se défièrent, 3 heures ils brisèrent les rêves des autres, jusqu’à la table finale. Or, ce que les 7 dieux survivants découvrirent ensuite n'était guère plus réjouissant : la Table Finale était un monde sombre, où la structure de jeu de départ deep de 20K n’était plus que short stack. Un monde où les menaçantes chip leader Maé "Amie des sourires" et Julie "Aux cheveux bouclés" semaient la discorde, terrorisaient et punissaient à leur guise. David "L'Ébranleur du sol" fut le premier à en faire les frais lors de son face à face avec Loubna "La brillante". Cette dernière n'eut aucun mal à contrer le belliciste… Une simple paire de KK suffit à endormir la paire de JJ de son adversaire. Tandis que la bataille faisait rage entre les short stack Loubna, Jonathan "Aux milles ruses" et Florian "Aux yeux clairs", usant de limp agressifs et de 3bets confiants, Julie répandait toujours la terreur et le désespoir autour d’elle, empilant des montagnes de jetons et faisant gronder la foudre. « Que venez-vous faire ici ? » demanda Julie de sa voix forte. Loubna et Jonathan, qui déjà avaient une épée de Damoclès au-dessus de la tête, tombèrent à la suite. La patience de Florian était si grande que les divinités infernales s'apaisèrent autour de lui et il fut bientôt ITM. Mais, tandis qu'il songeait au bonheur d’accéder au podium, le jeune homme perdit sa lucidité et cria victoire à la vue de sa flush contre Charlotte "La souveraine maîtresse"… Pour son plus grand malheur, car la déesse avait réalisé une quinte flush.
Le supplice de Tantale s’acheva ici pour les 4 dieux déchus et ils se retirèrent alors dans un lieu isolé, à la table de Cash Game, où ils chantèrent leur peine. Charlotte, jusque-là rarement inquiétée, progressait, protégée par ses Full QT, ses quintes max et ses bluffs dans les meilleurs spots, et vit alors apparaître la porte qui pouvait la mener à la victoire. Elle entra sans peur et se présenta devant les deux déesses survivantes. Les deux harpies, Julie et Maé, s’entretuaient, prenant le dessus l’une sur l’autre simultanément, partageant des pots énormes avec les mêmes quintes, gagnaient, perdaient, se couchaient... Et envoyèrent bientôt Charlotte dans les abîmes. L’heure du HU avait sonné et la fin du supplice de l’Omaha et de ses 4 cartes approchait. La victoire Full contre Brelan d’As de Maé pansa ses blessures, mais seulement momentanément : car ce n’était pas une bataille qu’elle devait gagner face à la terrible Julie, mais bien la guerre. Elle n'eut pas de seconde chance : la déesse Julie resta insensible à ses supplications et assena le dernier coup de grâce.
Ce mythe nous enseigne que les dieux et déesses de la Darshan aiment le poker au point d’être toujours friands de nouvelles variantes. Mais que, malgré tous leurs efforts pour se mettre au sport (le Bowling), c’est bien le chant merveilleux des sirènes du Canadian Embassy Pub qui les envoûte toujours.
By Maé
S’il fallait mettre des mots sur la partie de samedi, ils tourneraient autour de la peine. On commencera avec “peinarde”. Parce qu’à la pause déjeuner, seulement deux sortants sur 19 joueurs étaient à dénombrer. Les amis du Maillot ne vont pas s’en plaindre, ça fait plus de repas à servir. Alors ils ne remercient pas Medh… Adrien, qui a été le premier à rendre tous ses jetons avant même de commander son déjeuner. Il a été suivi peu après par Medh… Michel ! Et même s’il n’a pas mangé, il se sera rassasié en retournant le cerveau de Charlotte. Alors qu’elle hésite longuement à call top paire (K5) sur TTxKx, la présidente se lance dans une Jeffardise : « bien joué Michel ! » Son adversaire, persuadé à tort qu’elle a foldé sa main, lui montre un 2… Bon, ben ce sera snap call monsieur ! Hélas, ce 2 était accompagné d’un T, une bien belle Doyle Brunson qui fait toujours brelan ! Et la voilà qui regarde ses pauvres jetons partir en direction de Miche-Miche qui l’aura own sans même le vouloir…



Ils étaient vingt et à la fin, il n’en restera plus qu’un ! Alors que les aventuriers de la tribu Maillot se déchiraient à coups de flips et de ri(z)ver sanglantes, on garde le doux souvenir d’une joyeuse matinée : certains se faisaient craquer KK par deux fois, tandis que d’autres se targuaient de faire des carrés. Le tout, sous quelques reprises musicales et rythmées : Ennio Morricone, Era, "La puissance du port du Havre" – pour sûr, le niveau était là ! On se souviendra aussi de quelques set-up favorables (ou pas, question de point de vue), des blagues de Michel, d’un Mehdi parti encore une fois trop tôt, du rungood démentiel de Raul et du busto de Jeff avec AA face à un petit carré de 5 sur ce board qui le hantera longtemps : JJx55.
Egaré dans cette vallée infernale, notre héros s’appelle David - fin prêt à affronter les légendes de l’île. Avec une table finale 100% masculine – oui, ça fait mal – trois joueurs intrépides prendront finalement la tête de ce parcours du combattant : Bruno, longtemps short, qui marque un très beau coup avec AA et voit son stack tripler à 3 left, laissant ses deux adversaires en bien mauvaise posture. Hélas, sa patience et ses efforts ne suffiront pas et sans pitié aucune, David éteindra son flambeau. Bruno s’inclinera donc en 3e position, laissant leur HU à David qui cumule les jolis ITM et Jonathan, qui cumule les belles 2e place – et rêverait d’enfin chiper le titre de meilleur aventurier ! Avec deux stacks égaux, les deux équilibristes oscillent du haut de leurs poteaux et manquent parfois de se vautrer : car tout est dans le mental ! Après quelques mains disputées, les efforts de la dealeuse payent enfin et les esprits s’échauffent sur ce board 993. Avec son 3, Jonathan l’intrépide décide de partir à tapis… C’est payé monsieur ! Nettement dominé par la paire de dix de David, Jojo trouve un double-up miraculeux : une doublette du 3, turn, lui offre un full en toute détente ! Mais David reste en vie et ne lâche rien face à la houle. Il grind, marque des points et ne craint jamais la météo capricieuse ! Le dernier set-up sera en sa faveur AJ>KQ et le voilà qui coiffe son adversaire au poteau !
VGG à lui pour cette première win darshanienne et big up à Jonathan. Car, comme dirait Claude : "personne ne l’a éteint, mon flambeau." – il l’aura, cette win. Il l’aura !
C.R.
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